Episode 1x03 "Cherchez l'erreur"

28 février 2008

Tous les meilleurs moments de l'épisode 3 de la saison 1

Wilson et House dans les couloirs de l’hôpital.

House : Pourquoi tu veux que je m’en occupe ??

Wilson : Sa tension ne réagit pas aux injections.

House : Non, non, non, non ! Je te demande pas comment tu vas procéder pour me le refiler, je te demande POURQUOI tu veux me le refiler !

Wilson : Il est malade, je veux l’aider, je sais plus quoi faire !

House : Écoute, y a à peu près 1 milliard de gens malades sur cette Terre alors pourquoi celui-ci ??

Wilson : Parce que celui-ci est dans NOTRE salle des urgences.

House : Aaah ! C’est donc une question de proximité ! Si y avait un malade à côté dans la cage d’escalier c’est de lui que je devrais m’occuper !

Wilson : Oui. J’ai vérifié. Y a personne dans la cage d’escalier.

House : Très bien. Va pour les urgences alors !

House prend le dossier du patient et entre dans l’ascenseur.

Wilson : Attends. Pourquoi ça a été aussi facile ??

House : Devine !

Wilson : La tension qui ne réagit pas aux injections !

House : Oui ! C’est bizaaaare !

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House est en retard d’une demi-heure pour ses consultations et Cuddy le lui fait remarquer immédiatement. La salle d’attente juste à côté est pleine à craquer.

House (aux personnes de la salle d’attente) : Bonjour Messieurs Dames les malades et leurs chères familles !!

Cuddy sent qu’il va encore jouer au petit malin.

House : Afin de gagner du temps et d’éviter d’ennuyeux bavardages ultérieurs, je suis le Dr Gregory House. Appelez-moi Greg. Je suis l’un des trois médecins assurant les consultations ce matin.

Cuddy : Abrégez. Allez, prenez un dossier.

House : Ah ! Ce rayon de soleil est le Dr Lisa Cuddy. Le Dr Cuddy dirige cet hôpital, alors malheureusement elle est trop prise pour s’occuper de vous. Je suis un médecin. Diagnosticien certifié avec une double spécialité en maladies infectieuses et néphrologie. Je suis aussi le seul médecin de l’hôpital qui assure les consultations contre sa volonté. (Se retournant vers Cuddy) C’est la vérité non ? (Regardant à nouveau les patients) Mais soyez tranquilles ! Pour la majorité d’entre vous le travail pourrait être fait par un singe avec un flacon d’ibuprofène ! A ce sujet, si vous êtes particulièrement enquiquinants vous risquez de me voir prendre ceci. (Il sort son tube de comprimés) C’est de la VICODINE ! C’est à moi ! Vous n’en aurez pas ! Non, je n’ai pas de problème de gestion de la douleur, j’ai un problème de douleur. Mais va savoir, peut-être que je me plante ! Peut-être que je suis trop défoncé pour faire la différence !! Bref. Qui est-ce qui veut de moi ?

Après ce petit discours, évidemment, personne ne se propose.

House : Et … qui est-ce qui préfère attendre un des deux autres médecins ?

Tout le monde lève la main.

House : Hmmm … Si vous changez d’avis, je suis en salle d’examen n°1.

Cuddy décide de prendre les choses en mains.

Cuddy : Jodie Matthews !

Une femme se lève.

Cuddy : Veuillez suivre le Dr House en salle d’examen n°1.

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Salle d’examen n°1. House lit le dossier de sa patiente.

La patiente : Il était jaune.

House lève les yeux du dossier.

House : Il était ??

La patiente : Oui, plus maintenant.

House : Mmm … Zut alors !

La patiente : Je me suis douté que ce serait embêtant alors … (elle cherche quelque chose dans son sac) je vous ai apporté ceci !

Elle lui tend un petit carton coloré.

House : Votre écoulement nasal était … (il retourne le carton pour lire le descriptif) « bouton d’or très clair » ?!

La patiente : La semaine dernière. Je dois m’inquiéter ?

House : Oh oui. Beaucoup !

La patiente : C’est vrai ?? Je croyais que ça allait maintenant ?

House : Et vous êtes là néanmoins ! Il a fallu … une semaine au 911 pour répondre à votre appel ?

La patiente (mal à l’aise) : Vous n’êtes pas un gentil médecin, hein ?

House : Et vous, vous êtes très mauvaise dans votre métier, quel qu’il soit !

La patiente : Vous ne me connaissez même pas !

House : Vous allez vous faire virer. C’est pour ça que vous avez des lunettes toutes neuves et les dents aussi blanches. Vous profitez de votre mutuelle avant qu’il ne soit trop tard.

La patiente : Peut-être que je compte démissionner !

House : Si c’était le cas vous l’auriez su quand votre morve était encore « bouton d’or très clair », vous allez être virée !

La patiente (démasquée) : J’ai horreur qu’on me dise ce que je dois faire, c’est tout.

House : J’vous fais faire un check-up complet dans le courant de la semaine.

La patiente (qui n’en croit pas ses oreilles) : Merci.

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House et son équipe ont listé sur leur tableau tous les symptômes développés par leur patient. House a ensuite entouré les symptômes en fonction des affections qui pourraient les déclencher.

House : Cameron avait raison. Aucune pathologie n’explique tous ces symptômes. Mais l’orange et le vert recouvrent tout.

Chase : L’orange ET le vert ??! Deux affections contractées simultanément ?!

Foreman : Le rasoir d’Ockham. L’explication la plus simple est toujours la meilleure.

House : Et une seule c’est plus simple que deux ?!

Cameron : Baah oui c’est clair !

House : Un bébé vient au monde. Chase vous dit que deux personnes ont échangé leurs fluides pour créer cet être humain, et je vous dis qu’une cigogne a amené le gosse dans son bec. Qui est-ce que vous croyez ?

Foreman : Je trouve votre argument spécieux !

House : Et je trouve votre cravate hideuse ! Pourquoi une explication serait-elle plus simple que deux ? C’est plus restreint, plus étriqué, mais plus SIMPLE ! Chacune de ces affections représentent environ une chance sur mille. Deux d’entre elles en même temps représentent donc une chance sur un million. Chase dit que la cardio-infection c’est une chance sur DIX millions. Conclusion : mon idée est dix fois meilleure que la vôtre. Faites le calcul, vous verrez !

Chase : On va plutôt faire les examens.

House : Trop longs ! Le traitement ira plus vite. Mettez-le sous Unacim pour l’infection des sinus et … hmm … c’était quoi l’orange ?

Cameron : Hypothyroïdie.

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Foreman a convaincu Chase et Cameron d’effectuer quand même des examens. Ils font des tests afin de trouver le ou les possibles virus qui atteignent leur patient. Foreman et Chase travaillent dans la même pièce alors que Cameron est dans la pièce adjacente, séparée par une vitre.

Foreman : Négatif pour le virus Cowsackie B.

Chase : Ça en fait 7 de moins ! Plus que 5 000 !! (Observant Cameron du coin de l’œil) Tu crois vraiment qu’on va trouver ton mystérieux virus en faisant des tests jusqu’à ce qu’on tombe dessus ?

Foreman (voyant Chase inactif) : Nan, je pense qu’on va le trouver en regardant tranquillement les autres bosser !

Chase : J’attends le virus Epstein-Barr tu permets !

Chase observe à nouveau Cameron.

Chase : Elle est bizarre nan ?

Foreman : Mauvaise idée.

Chase : Quoi ?

Foreman : Mauvaise idée ! Tu bosses avec elle.

Chase : Quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ?? Attends. Est-ce que … « bizarre » serait un euphémisme du ghetto pour dire « sexy » comme « d’enfer » ou « mortelle » ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Hein, dis-moi ? Qu’est-ce que ça veut dire ?

Foreman : Un euphémisme du ghetto ?

Chase : …

Foreman : Tu la trouves pas jolie ?

Chase : Non.

Foreman : Alors toi … T’es exceptionnel ! Et c’est un euphémisme !

Chase : Évidemment que c’est une jolie fille ! Sauf que toi tu me parlais pas de son physique, tu me demandais si je voulais me la faire ! J’veux pas.

Foreman : Exceptionnel.

Chase : Pfff !

Deux « bip » se font entendre. Chase est en train de regarder Cameron qui s’affaire de l’autre côté de la vitre.

Foreman : Ton Epstein-Barr est prêt !

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Dans une salle d’examen.

Le patient : Qu’est-ce que vous faites ??

House (sur sa console de jeu) : Le niveau 4.

Le patient : Nan, j’v…

House (lui coupant la parole) : Mais j’avais compris. On attend.

Le patient : J’ai mal à la gorge !

House : Vous me l’avez dit.

Le patient : On va attendre longtemps ?

House : Deux minutes de moins que la dernière fois que vous avez demandé.

Cuddy entre.

Le patient : Ah !

Cuddy : Bonjour. Je suis le Dr Cuddy. Alors, qu’est-ce qu’il se passe ?

House : Dr Cuddy ! Merci de vous être dérangée. Il a quelque chose à la gorge, j’aimerais votre avis !

Cuddy prend le matériel nécessaire.

Cuddy : Faites « Ah ».

Le patient : « Aah ».

Cuddy (à House) : Il a la gorge enflammée …

House : Oh mais bien sûr ! Mais oui, pourquoi est-ce que … enfin il m’avait dit qu’il avait … qu’il avait mal à la gorge ! J’aurais dû en déduire qu’elle était enflammée !

Cuddy (essayant de s’adresser en privé à House) : J’étais en pleine réunion !

House : Priorité aux patients non ?

Cuddy : Pas question de prescrire une pastille si vous avez le moindre doute ?

House : Vous m’avez reproché de penser que j’avais toujours raison. Et je me suis rendu compte que VOUS aviez raison. Enfin … je pense ! Mais va savoir si j’ai raison …

Le patient : Hey ! Et moi alors ?

Cuddy : Rentrez chez vous. Faites-vous un bon grog.

Cuddy quitte la salle.

House : Excellent conseil !

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Foreman sort du bureau de House. La théorie de ce dernier était en effet la bonne et House ne s’est pas gêné pour le prendre de haut. House et Wilson sont à nouveau seuls dans la pièce.

Wilson : Ce côté suffisant que tu as a quelque chose d’assez séduisant.

House : Merci ! C’était soit ça, soit me faire faire un balayage ! Et la suffisance demande moins d’entretien.

Wilson : Je sais que t’es pas du genre à attirer les mouches avec du miel, mais est-ce que tu crois que tu risques d’en attraper beaucoup en les prenant de haut ?

House : Des mouches non, des médecins oui. Si j’avais dit à Foreman « C’est bien vu, bonne idée, mais désolé c’est raté », tu penses qu’il ferait quoi maintenant ?

Wilson : Il rentrerait peut-être chez lui en se prenant un peu moins pour une merde ?!

House : Exactement.

Wilson : Tu veux qu’il se prenne pour une merde ??

House : Non. Je veux pas qu’il rentre chez lui !

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House est dans une salle d’examen avec une patiente à qui il a prêté sa console de jeu. Il attend Cuddy pour un avis mais c’est Foreman qui entre.

[…]

Foreman : Ce ne sont pas deux pathologies différentes ! C’est impossible que ce soit ça !

House : Je suis vraiment content que vous travailliez ici.

Foreman : Si je me trompe pas : les antibiotiques que vous avez prescrits pourraient léser les reins et le foie, et réduire sa capacité à combattre le virus. Il risque de mourir.

House : Oui. Ce serait embêtant c’est sûr … Combien on parie ?

La patiente lève la tête de son jeu.

House (à la patiente) : Levez pas la tête, vous allez vous faire bouffer par les singes !

Foreman : Vous voulez parier sur la vie d’un patient ?!

House : Vous êtes superstitieux ? Vous pensez que Dieu le rappellera à lui pour nous punir de notre cynisme ? S’il fait ça … c’est du fric facilement gagné pour vous.

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Dans le bureau de Cuddy.

House : Le patient aurait pu mourir.

Cuddy : D’une déchirure musculaire ?!

House : Les symptômes correspondaient à une bonne douzaine d’autres pathologies ! J’étais parfaitement en droit de consulter un confrère.

Cuddy : Vous ne couperez pas aux consultations externes.

House : Roh ! Franchement ! Vous avez des dizaines de médecins idiots dans cet hôpital qui tombent à moitié en pâmoison à chaque fois qu’ils retirent une petite voiture d’une narine, alors pourquoi moi ??

Cuddy : Parce que je pense que le contact avec le public fait de vous un meilleur médecin !

House : Qui vous dit que je veux devenir meilleur ?!

Cuddy : Qui vous dit que j’en ai quelque chose à faire ?

House : Il est clair que ce genre de boulot développe un sens aigu de la compassion …

House fait demi-tour et se dirige vers la porte.

House : J’ai votre numéro personnel. Au cas où il arriverait quelque chose à 3 heures du matin.

Cuddy : Ca ne marchera pas !

House se retourne vers Cuddy qui est toujours près de son bureau.

Cuddy : Vous savez pourquoi ? Parce ce que ça nous amuse ! (Elle prend ses affaires et se dirige également vers la porte) Vous trouvez quelque chose pour m’emmerder. Je trouve quelque chose pour vous emmerder. C’est un jeu. Et je vais gagner ! (Face à House) J’ai un coup d’avance : vous êtes DEJA emmerdé !

House : …
Cuddy sort de son bureau. Wilson venait justement la voir.

Wilson (en train de consulter un dossier) : Euh …
Cuddy : C’est important ?

Wilson : Hum … Non.

Cuddy : Tant mieux !

Cuddy s’en va. House sort à son tour du bureau.

Wilson : A quoi vous jouez ??!

House : Oh arrête !

Wilson : Tu as un faible pour elle. Les seules personnes qui arrivent à te fai…

House : Nan ! Y a pas une frontière très mince entre l’amour et la haine ! En fait, y a une Grande Muraille de Chine avec des sentinelles armées postées tous les 3 mètres entre l’amour et la haine !!!

House avance vers la pharmacie.

House (au pharmacien) : Vicodine par 36 !

Le pharmacien : Qui est le patient ?

House : Moi !

Le pharmacien : Vous ne pouvez p…

House : Le Dr Wilson est le médecin prescripteur.

Wilson : Oui.

Le pharmacien : Bon.

Wilson : Tu pourrais trahir, voler ou mentir pour avoir ce que tu veux mais tu es incapable de lui lécher le cul ???

House : On a tous nos limites !

House prend le tube de comprimés qui est sur le comptoir et s’en va.

Wilson : House ! C’est pas le bon. (Il prend le bon flacon sur le comptoir et s’approche de House pour faire l’échange) Fais-moi plaisir. Prends-en un, attends 5 minutes que ça agisse, trouve Cuddy et lèche-lui le cul.

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House et son équipe dans la salle de diagnostics.

Chase : Mais s’il n’a pas la goutte, pourquoi il aurait pris ce médicament ?

House : Parce que vous étiez dans le vrai. Il n’y a pas eu deux maladies exactement en même temps : d’abord il a toussé, et comme un con il est allé voir un médecin ! Lequel, pour justifier ses honoraires de 200 $, s’est senti obligé de faire quelque chose. Oups ! Il lui a fait une ordonnance.

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House entre dans la salle d’examen où un patient l’attend. C’est un adolescent avec de nombreux tatouages et un piercing sous la bouche.

House : Bonjour. Ça va ?

Le patient : Ça va.

House : Moi aussi ça va. Je finis une heure plus tôt aujourd’hui. Vous savez pourquoi ? Parce que j’ai léché le cul de ma patronne. Vous avez déjà fait ça ? Je crois qu’elle a juste dit oui pour m’encourager à recommencer. Elle veut que je me mette à lécher un maximum d’autres culs, y compris le vôtre ! Qu’est-ce que vous préférez ? Un médecin qui vous tient la main en vous laissant mourir ou un médecin qui vous ignore en vous guérissant ? Évidemment le pire de tout ce serait un médecin qui vous ignore en vous laissant mourir …

Le patient : Euh … faut que j’y aille.

Le jeune homme commence à se diriger vers la porte avec une démarche étrange, droit comme un « i ».

House : Vous croyez que ça va ressortir tout seul ?!

L’adolescent s’arrête net et se retourne vers House.

House : Et … c’est du genre … plus gros qu’un panier à pain ??

Le patient : …

House : Parce que le fait est que ça va ressortir tout seul. Si c’est pas trop gros, pas de problème, ça sortira bien emballé dans un joli paquet mou, plouf ! Mais si c’est gros, ça va coincer quelque part, et là vous risquez de beaucoup moins rigoler …

Le patient : Comment vous avez … ??

House : Ca fait une demi-heure que vous êtes là et vous ne vous êtes pas assis, ce qui m’indique là où ça se situe. Vous m’avez toujours pas dit ce que c’était, j’en conclus que c’est humiliant. Vous avez un petit canard tatoué sur le bras, ce qui prouve que pour vous humiliez faut déjà y aller. Y a donc peu de chance pour que ce soit des hémorroïdes.

Le patient : …

House : Je suis médecin depuis 20 ans. Y a plus rien qui me surprend.

Le patient : … C’est un lecteur MP3.

House : Mmmm. C’est … c’est plutôt à cause de la taille … de la forme … ou c’est le poum-poum des basses ?

Le patient : Qu’est-ce qu’on va faire ?

House jette un œil à sa montre.

House : Euh … je vais attendre.

Le patient : Attendre quoi ??

House sort de la salle.

House (s’adressant aux secrétaires) : Bon, il est 3 heures, je m’en vais. Dites au Dr Cuddy qu’il y a un patient qui l’attend en salle d’examen n°1 et que la police veut qu’elle vérifie s’il y a pas eu téléchargement illégal.

Cameron vient à sa rencontre.

Cameron (à propos de leur patient en chambre stérile) : Il n’est pas prêt pour l’intervention.

House : Ok ! On va attendre une semaine ou deux, il devrait aller mieux d’ici là ! Oh, mais … on a pas vraiment le temps ?!